Au cours de notre bref passage dans ce monde, le long de ce fleuve qu’est notre vie…
Nous ne sommes attentifs qu’aux tourbillons et vaguelettes en surface.
Jamais on ne pense aux forts courants qui en profondeur façonnent le cours de notre vie.
Au cours de notre bref passage dans ce monde, le long de ce fleuve qu’est notre vie…
Nous ne sommes attentifs qu’aux tourbillons et vaguelettes en surface.
Jamais on ne pense aux forts courants qui en profondeur façonnent le cours de notre vie.
Pourquoi mentir au-delà même du bon sens, la vérité éclate toujours un jour ou l’autre, et les dégâts occasionnés sont toujours lourds de conséquences.
Certains font une distinction entre différents types de mensonges, argumentant ce trait de leur personnalité par une justification toute aussi empreinte de données plus ou moins véridiques dans lesquelles d’ailleurs ils finissent par se perdre.
Peut – ont admettre un mensonge, sous prétexte qu’il est pieux ? ?¨¨ ! ! ! ( selon la conscience collective, les mensonges pieux existent et sont accepter ?).
Peut-il être pieux ? !!, alors que théologiquement le mensonge et issue du malin. Y a- t-il des situations qui justifient le mensonge ?
Bon nombre de pratiquants vous diront que Oui, c’est comme une gifle, elle n’est ni bonne, ni mauvaise c’est le pourquoi de la gifle qui définit son importance, pour blesser et par colère, elle est mauvaise, pour calmer et/ou ranimer elle est bénéfique.
Et bien non, cela n’est pas valable pour le mensonge.
Le mensonge est l’arme des faibles et des lâches qui n’étant pas capables d’assumer leurs personnalités, cachent leurs actes du plus bénin au plus grave, par des fabulations issues de leurs esprits tortueux et égoïstes, car, pensent-ils au mal qu’ils engendrent à travers leurs mensonges ?
Pensent-ils aux situations ambiguës qui en découlent et qui créent la blessure chez l’autre ?.
Mentir c’est ne pas respecter un principe fondamental qui est le respect d’autrui.
Les fondements de notre société, sont basés sur des principes d’ordre religieux et civique, si nous acceptons d’en bafouer ne serait- ce qu’un seul, alors pourquoi respecter les autres et, si cela était, pourquoi nous étonner des conflits planétaires existants.
Amitié ou amour, il rend insatiable et malheureux
Toute relation fragilise, les affects et émotions sont toujours en décalage
Équilibrer le bon au mauvais, le négatif au positif
Comment nous en affranchir et retrouver notre intégrité,
nous permettant d’apprécier l’autre et peut être d’aimer .
Aimer sans craindre la dépendance affective, accorder la liberté
De ces larmes qui soudain nous voilent le regard et dont les sanglots nous ramènent à une faiblesse que l’on a refoulée.
Lutter pour préserver un semblant de sérénité dans ce vécu chaotique.
Ne pas comprendre les tréfonds de nos âmes et les sentiments antagonistes qui perturbent nos pensées et nos actes.
La noirceur de ces pensées subsume cette souffrance émotionnelle.
Et pourtant…..
Le bonheur aussi amène ces larmes !!
L’essentiel pour bon nombre de personnes, c’est avant tous la préservation de leurs propres intérêts de quelques nature qu’ils soient, en intégrant une dose d’égoïsme, pour ne voir la vie qu’à travers leur propre et unique regard n’admettant pas ou ignorant la complexité humaine et par la même la diversification des idées.
Le principal pour eux, en toute logique est la mise en œuvre de tout moyen pouvant leur assurer l’essentiel et cela bien souvent au détriment des autres, par conséquent cela limite leur ouverture d’esprit et c’est un frein dans le partage d’idées à une époque où l’on parle de l’Europe.
Le plus important………pourtant c’est avant tout le respect des autres, indépendamment de leur idées, classes sociales ou statuts de toute sorte , le respect de leur personnalité, de leur identité profonde, et surtout de tout ce qui fait la différence . Car c’est cette différence qui génère de nouvelles idées et ainsi nous permet, individuellement, de grandir.
N’oublions pas que le respect d’autrui, que cela soit à travers la confiance l’honnêteté, la reconnaissance de l’être unique qui est en chacun, nous situe humblement face à notre conscience.
Je vénère le silence, et cherche l’ataraxie
Fuir l’oppression des pensées, choisir le retrait.
La dystopie n’est en rien imaginaire, je la vis.
L’utopie eu été chargée de regrets
Il ne me reste que l’uchronie comme espoir, ou,
Rejoindre les absents pour être présent !!!
Est ce la qualité ou la quantité des souvenirs qui fait, que l’on à l’assurance d’avoir vécu ?
Mais a-t-on bien vécu ?.!!! Quels sont les critères qui définissent la satisfaction d’une vie?
Mettre en opposition la liste des choses faites à celles que l’on aurait aimé faire.
Les regrets étant les plus sinistres des émotions, opposons leur l’herméneutique de notre vie et trouvons la sérénité de notre vécu..
L’amour est Ecole de liberté.
Deux libertés qui décident de s’unir pour faire front à la vie
Cette relation est la plus vraie pour la création d’un couple authentique.
J’étais englué dans un quotidien morose, L m’a donné la plénitude du partage.
Je n’entendais plus les chants des oiseaux, L m’a fait redécouvrir la nature.
Que de nuits usées par ma solitude, sans L
L qui me permet désormais de conjuguer avenir et sérénité.
L’espérance du soir, me donne le courage au matin.
Le plaisir de l’attente
La sérénité composée
Le temps qui s’estompe
La rencontre se présice
Et permet cette attente positive
Nous ne profitons pas assez des instants qui nous sont donnés
Nos priorités sont trop souvent liées au superficiel, au détriment d’un présent ô combien enrichissant.
Notre société asservit les idéalistes, nous souffrons d’une vie surfaite.
Devons nous rejoindre les absents pour nous libérer et être présent.!!
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