L’écriture comme élément de résilience qui nous permet de surmonter bien des drames, des douleurs.
Exteriorisé nos doutes par ces mots qui courent sur la page vers la liberté de l’âme blessée.
Retrouver nos vies à travers ces écrits espérant en chasser le traumatisme en instaurant une distance émotionlle entre le vécu et le souvenir de ce vécu.
Verbaliser ces tourments, c’est en minimiser leur importance, les écrits demandent de la concentration que seul l’écriture nous prêtre dans le choix des mots pour en retirer leur pure essence, de même que la lecture nous oblige à l’attention et à la réflexion analytique du sens donné à ces mots.
Faut il être en souffrance pour ecrire, faut t-il ecrire pour guérir !
L’écriture peut aider en effet à surmonter les maux. Par contre il n’est pas nécessaire de souffrir pour écrire.