Il ne peut pas, il ne peut plus..
Il a mal de ce manque d’amour, mal de cette solitude imposée, de cette sensibilité exacerbée qui mouille son regard si souvent.
Ne pas être heureux, pire, être malheureux, avoir besoin d’une épaule pour poser sa tête, d’un sein pour y poser sa main et s’endormir sereinement, ne plus craindre le lendemain.
Blessé par la vie, ces cicatrices le font souffrir. Comme il serait doux et agréable qu’elle pose cet onguent et le libère de ces souffrances , qu’elle le libère de ces doutes, de ces craintes par des gestes d’amour, de tendresse et de compassion.
Conscient de ce besoin de reconnaissance, il lutte pour trouver cette indépendance affective.
Mais sa sensibilité le paralyse et ô combien il en souffre
Ce texte est comme un cri de désespoir qui ne me laisse pas indifférente. Ces mots sont émouvants