Nuit d’amour

Le parcours de nos mains sur ce corps oint, dont l’imaginaire avait enflammé nos sens.

Puis la rémanence des caresses voluptueuses qui apaisent notre ardeur.

Le bonheur du plaisir partagé

La douce complainte d’une respiration satisfaite et d’un visage illuminé par le sourire endormi de ce corps rompu

Imagination, tu es si cruelle

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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