21.05

C.est grâce à l’autre que nous avons connaissances de nous même.

Dans la souffrance, la trahison, l’abandon, L’autre nous impose son dictat, nous obligeant à plier l’échine.

Mais L nous permet la renaissance, comme une nouvelle naissance , dans la douleur mais dans l’espoir d’un renouveau.

Je dirai donc merci de m’imposer cette souffrance, m’ouvrant ainsi les portes de l’espoir nouveau.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

%d blogueurs aiment cette page :