Consolation

Apaiser par des mots, plus que par l’action.

Toujours nécessaire dans une relation d’empathie, toujours insuffisante dans l’absolu.

Consoler l’autre, ne change rien au fait, mais change tout pour celui qui reçoit, l’empêchant d’être seul dans la douleur.

Accepter la consolation c’est reconnaître sa faiblesse, sa vulnérabilité, il nous faut alors faire preuve d’auto consolation pour renforcer le bénéfice de l’aide reçue.

Savoir écouter, être présent, simplement laisser l’abandon de soi est la confiance s’installer.

Ce lien d’intimité ne requière pas de gratitude, il nous porte vers le bonheur, diminuant la douleur du moment.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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