Reconnue comme l’un des 7 péchés capitaux par les hautes instances chrétiennes, la colère, ne leur en déplaisent, peut-être bénéfique.
Excessive, voir inutile, elle nous rend souvent ridicule et inefficace, dans la représentation de sa négation.
Mais parfois salutaire, légitime elle peut conduire à la résistance, à la révolte et à l’action.
Il est des colères qui nous enferment dans notre ego, d’autres qui nous rattachent à notre conscience.
Transformons cette colère en un sentiment de civilisé, de créatif, voir de spirituel.
Sublimer la colère serait-ce la seule solution au malaise qui l’a engendrée.