Être deux

Les seuls histoires qui sont vraies sont celles que l’on ne vit pas

Et pourtant, comme j’aimerais vivre pleinement ce qui me reste de vie à deux.

Que de moments perdus, que d’énergie négative dans ce quotidien sans l’autre

La futilité de l’importance que nous accordons au temps que nous meublons par des réalités ô combien chimériques, nous prive du bonheur de la compagnie de l’être aimé.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

%d blogueurs aiment cette page :