Le Bonheur, entre qualité et quantité

Une existence, exempte de douleurs et de surcroît riche en jouissances, serait un bonheur absolu.

La morale, définie comme l’ensemble des règles et préceptes s’appliquant à la condition humaine devrait nous faire éprouver ce bonheur, au delà de sa nature essentielle.

Les plaisirs de l’esprit, plus stables, plus sûrs que ceux du corps, nous obligent à reconnaître le fait que certaines espèces de plaisir sont plus précieuses que d’autre.

Est ce qu’un plaisir peut être plus précieux qu’un autre du fait qu’il est plus grand quantitativement, ou au contraire nous sommes fondés à accorder à la jouissance une supériorité qualitative .

Ne serait-ce pas, tout simplement qu’il nous faille trouver un compromis entre la recherche d’un bonheur intense, mais durable.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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