Nous ne profitons pas assez des instants qui nous sont donnés, nos priorités sont apparemment liées au superficiel, au détriment d’un présent ô combien enrichissant.
Pourquoi ne pas se concentrer sur ces instants de bonheur que peuvent être le sourire d’un enfant, le regard usé d’un vieillard.
Notre société asservit les idéalistes.
Devons nous attendre de rejoindre les absents pour être présents !!!.
Le poids de nos existences et leurs manquements, doivent-il nous étouffer ou au contraire nous inciter à une prise de conscience bénéfique.
Avons-nous encore le courage de vivre nos désirs ??.
Pour avoir trop souvent affronté la vie et son contraire, et en apparence croire s’en être sorti vainqueur, alors que les cicatrices restantes prouvent à elles seules l’intensité des combats intérieurs que se sont livrés le conscient et l’inconscient.
Puis, comme après chaque combat, la fatigue enveloppe de son linceul le soldat qui risque de se faire entraîner sournoisement par la faucheuse sur le lac de son existence !