Confrérie de la mort

La hantise de la mort, la décrépitude du corps, l’esseulement de la fin, sont des certitudes du pire auxquelles ont ne peut se soustraire.

La conscience de devoir affronter l’inexorable conditionne nos vies, cette lucidité sur notre condition humaine et par là-même l’inquiétude qui en découle de devoir un jour renoncer aux plaisirs de la vie nous la fait aimer à travers ces moments volés

Les arguties du bonheur ne suffisent pas à effacer le goût de la perte du temps qui s’efface.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

%d blogueurs aiment cette page :