Les réseaux qui ce veulent sociaux entraînent une instabilité permanente de l’estime de soi.
Leur versatilité nous ramène à l’anonymat.
L’image de la liberté qu’ils nous font miroiter, laisse à penser d’un moi sans limites.
Jetée dans l’existence par ce leurre, l’inégalité sociale engendre la défiance et génère des rapports de force, de compétition.
Réapprendre l’autre…, C’est ensemble que nous devons affronter l’absurdité du monde