Le Net, pas très net

Les réseaux sociaux, école de la lâcheté.

Véhiculer une idée, même fausse, retranché derrière son clavier est le paroxysme de cette lâcheté numérique.

L’absence de visage, et par conséquent de réciprocité permet de s’indigner sans risques, sans confrontation directe.

C’est dans la rencontre physique de l’autre que l’on fait l’expérience de sa propre vulnérabilité.

Insulter une personne dans la rue, c’est prendre le risque qu’elle ne rétorque et qu’elle serre le poing.

Sur la toile, la honte de nos débordements reste anonyme.

Publié par religiositeintime

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

Un avis sur « Le Net, pas très net »

  1. C’est vrai qu’on peut vraiment dire n’importe quoi sur internet en étant anonyme, et donc c’est vite fait qu’il va y avoir ( c’est déjà bien trop le cas) des débordements.

Commentaires fermés

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