Un matin, le miroir me fit prendre conscience de ma pauvre personne.
Ce premier regard matinal n’est en rien discursif, aucune synesthésie.
La vérité dans son absolu, comment pourrais-je aimer, si je ne m’aime pas, comment pourrait on m’aimer si cette cet aphorisme se révélait juste.
Soudain, je pris conscience que ce miroir me renvoyait l’image d’un inconnu
Triste et désemparé, je pris conscience de ma solitude.
Ou est L ??