Le mal-être vient du refoulement du moment, du déni du passé et engendre la peur, la colère et bien souvent la tristesse.
L’écriture, comme la parole agit comme une extériorisation et nous libère.
S’écrire…c’est s’entraîner mentalement au bien être et être attentif et sensible aux bons moments passés.
Que faire de tous ces maux !!! Car il s’agit bien de chasser les maux, par les mots…
Comme je vous rejoins dans cette réflexion ! C’est tellement libérateur de pouvoir exprimer ce que l’on ressent. La parole est libératrice en effet. Mais au travers de l’écriture, on peut se dire aussi avec plus de liberté sans être confronté à l’incompréhension. Les mots apaisent les maux et exorcisent le mal d’être !
Bonne fin de semaine ☺
Ces écrits sont souvent des appels au secours, des bouteilles jetées dans l’immensité de la mer, une forme d’existence, de visites en soi, en l’autre. Ce monde a perdu la lecture des mots, des êtres, des poignants monologues. Il suffit d’un vrai regard. D’une main tendue.
Comme c’est exactement dit, bravo ! très bonne journée, louise salmone