Je suis triste.

Une douce torpeur m’envahit, l’adagio à corde de Barber exacerbe ma quiétude, ce morceau m’accompagnera jusqu’au crépuscule de ma vie.

Je suis triste…d’une tristesse réconfortante, douce, moelleuse, de cette tristesse qui, remplie de sens, issue de combat intérieur dont on ne sort jamais vainqueur donne accès à une élégie salutaire.

Une chaleureuse solitude, ponctuée d’une douce mélancolie, synesthésie des sens ou acceptation uchronique.

Je suis triste, je suis seul, ….mais je suis

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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