Paradoxe que cette expérience de l’indisponible !!
Avoir l’assurance de tout avoir , sans rien posséder vraiment.
Dire oui au bonheur, c’est aussi admettre le malheur
Admettre cet antagonisme, c’est comprendre que les choses nous dépassent et qu’elles sont inaccessibles
Le bonheur d’une note de musique, le sourire d’un enfant, un fabuleux paysage, nous transportent de joie, mais par là même nous échappent dès qu’on veut les contrôler et qu’ils deviennent inaccessibles
La sagesse extrême serait d’accepter cet état de fait et de s’émanciper des émotions négatives de la propriété.