Hélas etc…

Pourquoi mentir au-delà même du bon sens, la vérité éclate toujours un jour ou l’autre, et les dégâts occasionnés sont toujours lourds de conséquences.

Certains font une distinction entre différents types de mensonges, argumentant ce trait de leur personnalité par une justification toute aussi empreinte de données plus ou moins véridiques dans lesquelles d’ailleurs ils finissent par se perdre.

Peut – ont admettre un mensonge, sous prétexte qu’il est pieux ? ?¨¨ ! ! ! ( selon la conscience collective, les mensonges pieux existent et sont accepter ?).

Peut-il être pieux ? !!, alors que théologiquement le mensonge et issue du malin. Y a- t-il des situations qui justifient le mensonge ?

Bon nombre de pratiquants vous diront que Oui, c’est comme une gifle, elle n’est ni bonne,  ni mauvaise  c’est le pourquoi de la gifle qui définit son importance, pour blesser et par colère, elle est mauvaise, pour calmer  et/ou ranimer elle est bénéfique.

Et bien non, cela n’est pas valable pour le mensonge.

Le mensonge est l’arme des faibles et des lâches qui n’étant pas capables d’assumer leurs personnalités, cachent leurs actes  du plus bénin au plus grave, par des fabulations issues de leurs esprits tortueux et égoïstes, car, pensent-ils au mal qu’ils engendrent à travers leurs mensonges ?

Pensent-ils aux situations ambiguës qui en découlent et qui créent la blessure chez l’autre ?.

Mentir c’est ne pas respecter un principe fondamental qui est le respect d’autrui.

Les fondements de notre société, sont basés sur des principes d’ordre religieux et civique, si nous acceptons d’en bafouer ne serait- ce qu’un seul, alors pourquoi respecter les autres et, si cela était, pourquoi nous étonner  des conflits planétaires existants.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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