La marche, marcher, marchons

Les heures de marche propices à la réflexion, apologie de la lenteur, qui comme un sédatif, annihilent les pensées, les tempèrent , les canalisent et nous permet de relativiser.

Entreprendre une longue marche pour oublier !!

La régularité de nos pas rythme la cadence de nos pensées, les battements de ce cœur meurtri et permet un semblant de sérénité.

Ressentir le vertige de la lenteur et revendiquer le droit à l’errance.

Marcher, pour ne plus penser.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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