Aube

Cette blancheur matinale, lève le voile sur cette tristesse nocturne.

La nuit gémit d’ahan et cède au jour, son droit d’exister

Le mystère de cette journée naissante, menant au crépuscule

Sont ce les prémices d’un renouveau ? ou une lassante continuité ?!!

L’aurore, lentement se lève et me donne conscience d’exister

Il me faudra lutter pour assister au crépuscule.

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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