L’inconnue

Elle m’a souri sans me voir

L’ effluve de son parfum, flotte dans mes pensées

Et mon imaginaire vient combler le vide de mon existence, une synesthésie m’envahie.

Le soleil pointerait son nez, alors que les nuages redoubleraient d’efforts  pour s’imposer dans ce ciel bleu.

D’un pas lourd je commencerais ce chemin qui,  censé me délivrer de mes angoisses nocturnes, me mettrait à l’abri de mes questions existentielles journalières.

Le souffle court, je gravirais ce chemin, comme si elle était au bout à m’attendre, assise sur ce rocher, le sourire moqueur et amoureux.

Elle me manque, cette inconnue qui , un jour peu être, m’accompagnera sur le dernier chemin de mon existence.

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Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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