Le chemin est une force

Il n’est pas débonnaire, il nous saisit, nous façonne.

Il est une religion, une échéance de culture, une entraide, de la compassion, de la joie,  de l’abnégation  parfois, de la complicité souvent.

L’effort personnel, mais commun à tous les pèlerins nous rassemble.

C’est un partage universel des émotions que procure la marche, avec ses joies, ses peines.

Des rencontres, des sourires, des grimaces aussi, des pas hésitants parfois, appuyés par le geste du Bourdon sur lequel on ce repose.

C`est toujours à la fin que l’on apprécie les choses, mais les apprécions nous  vraiment, comme nous le devrions pour chaque jour de notre vie.

Car quelle que soit la douleur que ce chemin  procure, il y a toujours de jolis paysages, des gens souriants et de l’espoir.

Malgré la douleur du mouvement, les conséquences du chemin entrepris et les impératifs qui y sont liés, le chemin est beau, parsemé de moments intenses, de lever de soleil et d’aube naissantes…..comme la vie

Publié par Tribulations cérébrales d’un Saunterer solitaire

Pour le plaisir des Mots qui chassent les Maux

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