Marcher et penser ne peuvent être dissociés.
C’est en marchant que j’existe, que je ressens les choses, que je pense.
Je suis un saunterer, un pèlerin en partance pour ailleurs.
Je ne peux, ni ne veux revenir….
La moitié d’une promenade , ne consiste t’elle, pas à revenir sur nos pas ?
Seul, le départ vers l’inconnu est digne d’un pèlerin
Soyez vous-même, les autres sont déjà pris.
Merci Pat pour ces lignes de réflexion, quelque soit nôtre parcours de vie, nous pouvons nous y
attarder.