Marcher et penser ne peuvent être dissociés.
c’est en marchant que j’existe, que je ressens les choses, que je pense.
je suis un saunterer, un pèlerin en partance pour ailleurs.
je ne peux, ni ne veux revenir….
la moitié d’une promenade , ne consiste t’elle, pas à revenir sur nos pas.
seul, le départ vers l’inconnu est digne d’un pèlerin.
« Soyez vous-même, les autres sont déjà pris. »
— Oscar Wilde.
Cet article est le tout premier que je publie sur mon nouveau blog. Je viens juste de lui donner vie, restez à l’affût pour la suite. Abonnez-vous ci-après pour rester informé des mises à jour.
Merci Pat pour ces lignes de réflexion, quelque soit nôtre parcours de vie, nous pouvons nous y
attarder.
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